29 octobre 2006
7
29
/10
/octobre
/2006
14:02
Savoir était et reste ma grande occupation.
Ma demeure n'est pas mon foyer mais la voie sur laquelle j'espère un jour trouver la réponse à mes questions.
Bien que l'optimisme de ma jeunesse m'offre un élan enthousiaste, la faiblesse de mes pensées qui me survient par moment, ralentit mes pas, ma paix intérieure devient tel un chateau de cartes; j'entrevois alors en moi cet être, avec lequel je m'entretenais dans ma sollitude de mes joies et de mes maux, devenir orgueilleux, méchant et confus, prêt à soudoyer mes jugements plutôt qu'à les éduquer. La paresse et le mensonge m'envahissent, j'ai alors hâte à retrouver ce personnage plus humain que j'étais et plus juste avec moi-même et mes semblables.
Dans pareilles circonstances, ne serait-il pas sage d'accoucher notre esprit telle une sage-femme accouche les femmes? puis distinguer le bon grain de l'ivraie?. Telle était d'ailleurs la méthode de Socrate.
Mais pour dire la vérité, il n'est point utile de faire un préambule. Et si je m'attelle à des acrobaties de langage, je serais bientôt une référence dans le débit des bêtises. J'ai appris donc de mes prédécesseurs qu'il ne faut surtout pas confondre la beauté littéraire avec la justesse de la pensée...à suivre...dans treize ans un mois et vingt jours.
Dans pareilles circonstances, ne serait-il pas sage d'accoucher notre esprit telle une sage-femme accouche les femmes? puis distinguer le bon grain de l'ivraie?. Telle était d'ailleurs la méthode de Socrate.
Mais pour dire la vérité, il n'est point utile de faire un préambule. Et si je m'attelle à des acrobaties de langage, je serais bientôt une référence dans le débit des bêtises. J'ai appris donc de mes prédécesseurs qu'il ne faut surtout pas confondre la beauté littéraire avec la justesse de la pensée...à suivre...dans treize ans un mois et vingt jours.