31 décembre 2006
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Vitole de production: Julieta 2, nom commercial: Churchills
L: 178mm, D: 18,65mm, P: 14,08g, Cepo: 47
Comme promis je vous livre mes impréssions sur ce cigare, une pallette d'arômes, pour initiés.
Au toucher, ce cigare révèle une certaine irrégularité par rapport à sa compacité générale. Sa cape soyeuse et nervurée est saisie par une merveilleuse bague dorée qui donne un agréable contraste avec sa couleur maduro.
Les premières odeurs, avant allumage, s'apparentent à du bois noble ainsi qu'à une légère émanation de cuir travaillé. Le tirage aisé.
A l'allumage, le cigare développe, sans retenue, une certaine puissance en étendant de suite une note caramel qui s'éstampe rapidement pour donner place à des arômes boisés et épicés.
Un premier regard au pied du cigare, dévoile un manque de tabac au milieu, ce qui explique peut être sa longueur en bouche. Votre avis donc sur l'irrégularité du remplissage ne se donnera qu'au troisième tiiers.
Au deuxième tiers, les arômes du cigare s'aplatissent un peu, je dirais comme un passage à vide duquel reste quelques effluves d'épices et de terre humide. Je regarde encore une fois le pied du cigare pour constater cette fois la formation de plusieurs cratères juxtaposés se distinguant nettement les uns des autres et qui sont, à voir de plus près, les feuilles de cigares roulées figés par le feu. Elément caractéristique de cette vitole.
le troisième tiers, c'est le réveil du cigare, sa puissance et sa fumée épaisse composent admirablement avec les arômes d'épices , de cédre et de notes de terre humide.
J'étais surpris par le revirement agréable du cigare, sa puissance n'éclipse aucune de ses arômes.
R&J Churchills, vitole marquante par sa personnalité, façonnée avec soin et délicatesse, convient bien en fin de soirée.
L: 178mm, D: 18,65mm, P: 14,08g, Cepo: 47
Comme promis je vous livre mes impréssions sur ce cigare, une pallette d'arômes, pour initiés.
Au toucher, ce cigare révèle une certaine irrégularité par rapport à sa compacité générale. Sa cape soyeuse et nervurée est saisie par une merveilleuse bague dorée qui donne un agréable contraste avec sa couleur maduro.
Les premières odeurs, avant allumage, s'apparentent à du bois noble ainsi qu'à une légère émanation de cuir travaillé. Le tirage aisé.
A l'allumage, le cigare développe, sans retenue, une certaine puissance en étendant de suite une note caramel qui s'éstampe rapidement pour donner place à des arômes boisés et épicés.
Un premier regard au pied du cigare, dévoile un manque de tabac au milieu, ce qui explique peut être sa longueur en bouche. Votre avis donc sur l'irrégularité du remplissage ne se donnera qu'au troisième tiiers.
Au deuxième tiers, les arômes du cigare s'aplatissent un peu, je dirais comme un passage à vide duquel reste quelques effluves d'épices et de terre humide. Je regarde encore une fois le pied du cigare pour constater cette fois la formation de plusieurs cratères juxtaposés se distinguant nettement les uns des autres et qui sont, à voir de plus près, les feuilles de cigares roulées figés par le feu. Elément caractéristique de cette vitole.
le troisième tiers, c'est le réveil du cigare, sa puissance et sa fumée épaisse composent admirablement avec les arômes d'épices , de cédre et de notes de terre humide.
J'étais surpris par le revirement agréable du cigare, sa puissance n'éclipse aucune de ses arômes.
R&J Churchills, vitole marquante par sa personnalité, façonnée avec soin et délicatesse, convient bien en fin de soirée.