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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 09:26
Journal d'une procession

Nous étions sur la route de Zagoura quand ce paysage m'a interpellé.

Pour l'être humain il est inconcevable d'imaginer un lieu sans signe. Autant la nature est empressée à rester immobile autant l'Homme cherche à l'animer pour l'éloigner, selon ce qu'il croit, de sa trop dérangeante immédiateté. Lui il en est incapable

Vendredi 18 mai 2012

Ne regarde pas ce que fait une personne, regarde ce qu’elle est.

Demande toi pourquoi un arbre, une pierre, un animal est ici et tu sauras alors pourquoi une personne est là.

Tu es là parce que la vague l’est aussi, remue ta main et l’air se déplacera,

Remercies l’abeille d’avoir voleter de fleur en fleur, remercie le vent d’avoir transporté la graine, tu es cela, dedans, en relation.

Ne sois pas en colère contre ce que tu vois. Si ce que tu vois est la réalité tu dois l’accepter si c’est une illusion tu dois la comprendre.

Tu arpentes le chemin de l’attente et du désir car la vie est un rêve,

Tu arpentes le chemin de tes objectifs car la vie est un accomplissement,

Comme il est inutile de confondre le temps et la durée, il est aussi vain de confondre l’attente, le désir et l’objectif,

(Entre le mal et le bien il n’y a pas une différence de nature mais uniquement de degré de sorte qu’il est maintenant possible d’avancer, sans aucune méprise, que ‘’de tout mal fait peut naître un bien fait’’)

Refuse toute pensée malveillante sans toutefois la refouler, ainsi tu prendras conscience de la force qui gît en toi,

Avance et n’ais aucun doute, mais ne te prives surtout pas de poser toutes les questions qui animent ton esprit. (Les questions éclairent l’être, le doute l’assombri),

Quand tu regardes ton semblable différent de toi tu t’arrêtes par toi-même et tu ne t’étends plus alors, prisonnier deviens tu de tes propres limitations,

Jeudi 04 Juillet 2012

Chaque fois que tu penses être différent des autres tu acceptes le choix d’être en conflit avec tes semblables et faire par conséquent la différence entre ce que tu as et ce que tu es, il est possible cependant de se distinguer en restant semblable, il est possible de rester différent sans vouloir altérer l’autre.

Il est des méthodes mais point de raccourcis. Cela voudrai dire simplement que le chemin est le même pour Tous, chacun de nous essai cependant de créer la meilleure façon de l’arpenter, la moins douloureuse, la plus joyeuse.

Mardi 17 Juillet 2012

Le soliloque psychologique, est l’état qui m’informe de mon malaise,

Dimanche 23 sept. 12

Nous vivons dans une société qui cherche à nous faire croire que l’homme actuel est bien supérieur à celui d’antan, que l’enjeu du consumérisme est la bataille pour un monde meilleur,

Mardi 25 sept. 12

Par moment je passe par des périodes de lucidité, l’effet certain est le détachement du passé, cette obstination de se retourner pour voir en arrière se défait d’elle-même dès qu’une sphère de conscience est franchie, Imad a beaucoup souffert de l’identification, la recherche de considération, de la différence,

Mercredi 26 sept. 2012

Si tu es la mer tu n’auras jamais peur de te noyer, mais si tu t’identifies à l’onde qui la traverse tu auras peur des rochers, tu subiras l’affront des bateaux, tu chercheras à t’égaler aux autres vagues et tu riras des plus petites que toi, tout cela pour le vent qui court en toi, qui ride et déride tes illusions,

Lundi 20 Août 2012

Est-ce que je sais ce qui m’arrive ? Comment le saurais-je ? Ce qui m’arrive présentement découle-t-il d’un enchainement d’abstraction ou es-il le résultat de phénomènes concrets ? Où j’en suis par rapport à ce maintenant, ici et maintenant ? C’est important n’est-ce pas ? Là maintenant a-t-il une relation avec le passé proche ou lointain un regret par exemple, un lien avec le futur, un espoir, un projet ? Dans l’ici et maintenant y a-t-il des évènements facilitateur ou bloquant venant de mon moi intérieur ou directement de l’extérieur ? Y-a-t-il un extérieur sans un préalable intérieur ?

Mon intelligence est asservie par le mentale ce roitelet aux pensées noires, comment opère-t-il pour gagner cette fâcheuse obédience ? Quels sont ses vizirs, ses courtisans ? À partir de quoi, quelle est sa matière première ? Le passé, le futur et ce qu’il y a dedans comme regret culpabilité, peur et angoisse ? Oui, mais dans l’ici et maintenant il n’y peut rien c’est le présent, et dans le présent il n’y a que le présent. Pourtant je vois le mental chercher à se situer ! Le mental ne veut pas s’arrêter, toujours en quête d’une situation qui bénéficie à qui à quoi ? Pourquoi trouve-t-il lamentable et injuste le fait de ne rien faire, parcourant la surface des objets sans jamais rappeler le regard, le libérer des choses ? Quel est vraiment son but ?

Mais cela ce n’est qu’un discours n’est-ce pas, un assemblage de mots donnant lieu tout au plus à une phrase parfois paradoxale et par moment parée d’une certaine logique. C’est dans l’ordre de l’intellect, une construction discursive ni plus ni moins. Une phrase peut elle cependant devenir une trace littéraire ? Une idée peut elle jaillir en expérience ? En d’autre terme et abruptement peut on assassiner l’égo ? Lui faire faire ce qu’il n’aime pas faire, c'est-à-dire porter toute une vie à son terme en une fraction de seconde, c’est un tour de force d’une densité de présence inénarrable. Ce crime impardonnable le demeurera-t-il si vous décidez de quitter la ‘’Times machine’’ ? Citons dans ce cas Mircea Eliade, je vous conseille de lire son livre ‘’le sacré et le profane’’ il écrit textuellement que l’accès à la vie spirituelle comporte toujours la mort à la condition profane laquelle est suivie d’une nouvelle naissance. Arrêtez votre soliloque psychologique ! C’est le signe de votre malaise, de votre douleur diffuse et sournoise. Vous n’en obtiendrez rien. Et même en guise de consolation si vous continuez vous ne recevrez que des camouflets. Là je m’arrête un instant ! D’abord le mot obtenir me donne la chair de poule, car pour avoir il faut en premier lieu donner. Oui, donnez et vous recevrez. Ensuite, dans tous ces propos les miens et les vôtres, il ne s’agit nullement d’acquérir quelque chose mais plutôt de perdre quelque chose de s’en séparer. Mais au fait, y a-t-il vraiment quelque chose qui nous appartient et que nous risquons de perdre ? De réel rien, d’illusoire une montagne ! De savoir par exemple si nos enfants nous appartiennent lisons G.K.Gibran dans son livre Le Prophète ‘’vos enfants ne sont pas vos enfants, ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à la Vie, ils viennent à travers vous mais non de vous, et bien qu’ils soient avec vous ils ne sont pas à vous’’.

Arrivé à ce point là je voudrais partager avec vous une expérience :

« J’étais seul à la maison. Je venais de prendre une douche. Nu comme un ver je me suis installé sur le sofa, je profitais de ce moment de silence, ce calme placentaire. Mais de quel silence avais-je réellement besoin me demandais-je, là où les paroles et l’agitation sont absentes, ou bien existe-t-il une autre qualité de silence plus subtile ? Progressivement je me rendais compte que je demeurais troublé par les remous de ma pensée, telle une eau saumâtre agitée au gré des courants cherchant en vain un estuaire, un point de rupture pour connaître enfin la décantation et le repos. Visiblement je ne pouvais pas m’oublier, renoncer à moi-même, à l’attachement à mes burlesques idéaux. Soudain une voix intérieure semblable à une aigreur amère fraya le chemin dans mes viscères, une vengeance de l’Etre sur son image, puis de mes lèvres vibrantes sortirent les mots « Je n’ai ni père ni mère, ni femme ni enfant, ni frères ni sœurs, ni amis ni voisins, ni biens ni travail, ni but ni destin. Je n’ai rien. Je suis seul » C’est une noirceur abyssale qui me plongea dans une inquiétude terrifiante. J’étais au fond du puits, aucune main salvatrice ne m’était tendue. Mais cela ne reste-t-il pas pour autant vrai ? Je crois que si, car à l’issue de cet aveu, à ce rejet catégorique, un rejet frais et neuf, qui déchira les liens factices et fourvoya le mental dans un chemin en cul de sac, je me senti paisible et lesté de ma couardise à ouvrir les yeux. Puis d’une manière encore intensifiée, ce moment m’a réservé un sentiment magnifique, celui de ma responsabilité, sa reconduction d’une façon tout à fait saine envers tous ceux que j’aime et approche. Dans notre lien avec autrui qu’il soit filial, amoureux ou amical on ne peut aimer vraiment que si on libère l’autre de notre emprise, de nos projection, lui infligeant et attribuant à tour de bras notre malaise que l’on ressent à l’intérieur de nous et que l’on ne peut s’en défaire faute d’incompréhension. Pour arriver à cela, faire l’expérience de la solitude et non pas de l’isolement bien sûr est nécessaire »

Maintenant pour ce qui est de l’illusion, guérir en est une ! Et là j’ai eu l’occasion d’écouter dans une émission le philosophe Luc Ferry, il disait que le rôle de la thérapie selon Sigmund Freud est de transformer un malaise psychologique en malaise banal. Mais guérir de quoi finalement ? Arrêtons de travailler sur nous même, nous ne sommes pas malades, nous n’usons pas de notre esprit critique pour mieux comprendre ce qui se passe c’est tout.

Partant du principe vital que toute chose est parfaite même la maladie en elle-même est parfaite, je peux dire sans craindre de pouvoir me tromper que le mental est la conséquence naturelle et parfaite d’une facette de la nature de l’esprit, un état corollaire d’un mauvais usage qui, tout en étant parfait en lui-même, conduit à une déliquescence de l’intelligence de l’être humain, ce bel outil nécessaire à son évolution positive. La mort ou l’évolution négative existe, elle se trouve au bout de tous les chemins et notre naissance dans ce monde lui donne toute raison à sa présence.

Je pose la question suivante : nous avons tous une date de naissance dans ce monde n’est-ce pas ? Avons-nous maintenant réfléchie à notre date de naissance à ce monde ? Quel est donc ce monde auquel nous nous apprêtons à naître ? Quand allons-nous le faire ? Comment et pourquoi ? Combien de personne bien avancée dans l’âge attendent encore leur naissance à ce monde, sa forme nous appartient j’ai envie de dire. Je suis présent dans ce monde c’est une évidence, par contre je le suis à ce monde d’une manière subjective qui dépend essentiellement à ma façon de voir les choses, de comprendre l’enchevêtrement des évènements, comment ils arrivent par rapport à moi, mes attitudes qui sont miennes face à leurs expressions. Ce que je fais à l’instant crée le monde auquel je nais à chaque instant. Aujourd’hui est la date de ma naissance à ce monde j’ai envie encore une fois de dire.

Si ‘’Je’’ suis tel la pierre la plante et tout ce qui est vivant ou non sur cette terre, le fils de l’Univers alors en moi porte un message universel. Lequel est-il ? Comment le savoir ? Comment l’écouter ?

Pourquoi fais-je cas des impressions des sens et pas ceux de l’esprit ?

Une démonstration par la pensée,

Le problème commence dès lors que nous nous mettons à penser que nous sommes quelqu'un,

Les vérités absolues ne sont utiles que pour les statisticiens,

La culpabilité a besoin d’un temps unidimensionnel où le futur est souvent associé à la pénitence,

28 /11/2012

C’est maintenant seulement que je me rends compte que les réponses n’ont aucune utilité dans la vie, seules les questions ont de la valeur. Je me laisse emporté par le fleuve mystérieux de la vie et s’il m’advient par inadvertance de formuler une réponse je ne manquerais pas de rire tout de suite de moi-même, c’est l’attitude la plus noble que l’on puisse avoir à l’égard de l’Univers notre créateur.

Dorénavant mon éducation spirituelle sera consacrée entièrement à la quête des questions et sur mes pages je m’emploierai à ne donner ou à ne risquer aucune réponse,

01/12/2012

Je ne veux pas me tromper de monde,

L’égo est prêt à t’offrir l’oubli si tu acceptes de vivre dans un temps unidimensionnel,

22/12/2012

L’éveillé est un bon perdant, car face au mystère de la vie personne ne peut gagner.

30/12/2012

A chaque fois je dois me poser la question de savoir si mon action actuelle cache une petitesse ou pas. Lâcher prise de la petitesse,

‘’Les émotions dont nous ne nous en occupons pas s’occupent de nous !’’

05/01/2013

Je prends conscience facilement du sacrifice que du pardon, car le sacrifice est de l’égo qui m’habite lequel ne comprend pas pourquoi n’obtient-il rien en contrepartie du sacrifice qu’il réalise,

Faire un sacrifice c’est pardonner sans comprendre, par le sacrifice on enseigne malgré nous le dévoiement !

08/01/2013

C’est mon égo qui filtre, reçoit et juge, fait la lecture du comportement au travers de sa grille, nullement les autres

21/01/2013

Extrait du livre ‘’Plexus’’ d’Henry Miller : Le sens de la vie était entièrement masquer par la solution du problème de se maintenir à flot.

Le cerveau gouverne parce que l’âme abdique

08/02/2013

Pour être riche il faut faire l’expérience de la richesse, les moyens n’ont aucun rapport pour y parvenir. Il n’existe aucun médiateur matériel entre soi-même et les autres pour devenir riche, le geste supérieur suffit pour l’être.

J’ai décidé de ne plus parler aux gens mais de communiquer avec eux.

02/03/2013

Ce n’est pas la surface qui m’intéresse mais l’espace. Je ne suis pas sculpteur car ce n’est pas la forme qui m’intéresse mais l’idée.

19/03/2013

Ce qui est fait dans le temps peut changer avec le temps. Ce qui existe dans le temps change avec le temps. Le temps par contre n’a aucune prise sur le réel.

22/03/2013

Chacun de nous aspire à la liberté puis tombe dans la liberté conventionnée.

30/03/2013

Chaque jour je suis à la recherche de l’Homme. Chaque jour je dois être à sa recherche.

02/04/2013

Avec ton Amour tu avances, par ta particularité tu t’isoles et tu t’arrêtes. Pas une seule marche chérissant la particularité ne nous laisse approcher les êtres sans besoins de faire du mal.

03/04/2013

Tout est particulier, tout est privé, tout est séparation, où est donc l’amour ?

07/04/2013

Il m’est impossible de reconnaître un quelconque sentiment chez mon semblable sans que je n’en aie eu fait d’abord l’expérience moi-même.

15/06/2013

Je suis une chose en mouvement, une créature qui bouge

14/07/2013

Je pense par temps par espace, vision fragmentée : il m’est arrivé telle chose tel jour à tel endroit….un regard sélectif, partiel, non total

21/07/2013

Le matin du samedi 20 j’écoutais sur YOUTUBE Ch. SABOURIN discourir sur la différence entre l’éveil réel et spirituel. Sans aucune volonté de ma part un changement dans mon esprit s’est produit, un passage inattendu, sous vide, un hiatus psychologique clôturant brusquement un programme et ouvrant un autre. Ma doublure que j’engraissai de spiritualité s’est évanoui et n’est resté que moi-même avec une énergie hier mon ennemie maintenant devenu mon amie, cette énergie s’appelle le temps, l’espace. J’écoute…. C’est la première fois. Je vois…. C’est encore nouveau pour moi. Ma fonction comme un élément ami de ce monde est acceptée. Maintenant il s’agit de continuer le travail, d’énergisé le soi et non sa doublure, d’accepter que l’être soit en souffrance à cause de son ignorance ‘volontaire’, de son savoir passif, une baudruche ouverte à tous les souffles sauf au sien.

24/07/2013

Le monde réel est situé en totalité dans l’Evénement. L’événement ce n’est ni un temps ni un espace.

21/08/2013

Il faut passer entre les choses qui ponctuent l’existence, sinon on perd de vue l’essence de la vie

25/09/2013

L’Homme en tout temps a été en paix ! L’Homme EST en paix.

03/10/2013

La parole est l’accessoire de la réalité.

La parole est un prétexte (le livre du dedans)

19/12/2013

Prendre conscience qu’on est perdu dans et par nos pensées, nous met sur la voie de l’esprit juste.

14/01/2014

Je suis emprisonné par un « moi » qui veut, cherche, désire, souhaite, hait, aime,…….

Questions à développer

Pourquoi la croissance ? A quoi sert le progrès ?

Pourquoi gagner plus d’argent ?

Les choses auxquelles je crois doivent-elles être supérieur aux choses que je consomme ?

Pourquoi défend-on la vie ? Vivre est-il de notre ressort ?

Le changement existe-t-il réellement ?

Suis-je utile à quelque chose ?

Les avis changent et les illusions se comparent les unes aux autres et la plus plausible d’entre elles est retenue comme étant l’illusion la plus certaine à nous éclairer et à nous conduire sur le chemin de la ‘’vérité’’

Est-ce que manger est nécessaire ?

Qu’elle est la première personne qu’il faut tuer ? : Le prof.

Avons-nous une identité ? Laquelle ? L’identité n’est-elle pas une supercherie ?

Quelle est la nature de cette paix qui dit-on surpasse toute intelligence ?

A quoi servira la mémoire si les événements extérieures ne demeurent pas les mêmes ? N’obéissent plus aux mêmes lois ?

Faut-il avoir raison pour être heureux ?

28/09/14

Se séparer du ‘moi’ de tout ce qui appelle le ‘moi’, le café du matin par exemple lorsqu’on pense qu’il est absolument nécessaire pour soi.

Beaucoup de choses s’articulent autour de notre essence pour sublimer à notre insu la réalité vrai afin qu’elle devienne illusion le moteur creux de la quotidienneté.

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Texte Libre



Ces écrits sont nés d'un besoin pressant d'aller vers l'autre, de fondre dans un creuset qu'est ce support des éléments épars exprimant une certaine singularité.

Mais l'homme a vite fait de montrer sa joie une fois il est dans la lumière alors que les vrais auteurs, sans qu'il ne s'en aperçoive, sont dans l'ombre.

Ces écrits ne sont donc que l'expression harmonieuse d'innombrables acteurs proches ou lointains qui ont peuplé mon esprit et qui maintenant revendiquent la liberté à leurs créations.

Je passe mes journées à mutiler mes cigares à décapiter leurs têtes à allumer leurs pieds à déguster leurs tripes, mais l'écriture n'est-elle pas une vertueuse souffrance qui s'ingénue avec bonheur à vous faire oublier votre égo à décliner le constat social et à créer en vous le désir de dissimilitude?

Notre société a circoncis les hommes dans leurs corps, le fera-t-elle pour le prépuce de leurs coeurs et de leurs ambitions?

La vitole bleue dédie ses thèmes à la ville de Tanger, ma terre ma nourricière, au cigare ce plaisir perle des dieux fait par les mains des hommes, et enfin à mes écrits vérités sur mes parures qui donneront je l'espère suffisamment de plaisir aux lecteurs.
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Peut-être un jour

Qui c'est celui là?
Mais qu'est-ce qu'il veut?
Tanger 2010
 

Comment se fait-il qu’un homme quinquagénaire simple et ordinaire, père de deux enfants et œuvrant dans le secteur bancaire tombe, sans suffisance aucune, dans le chaudron d’Epicure ?

A vrai dire j’essaie de ressembler à ma mémoire, c’est une conteuse passionnée, qui m’a tatoué le cœur par le premier clapé de sa langue sur le palais pour me raconter le plaisir du cigare, et la première lueur blanche de Tanger sans laquelle tous mes devoirs envers mes plaisirs ne seraient qu'un amour futile.  

 

 
Porsche 911 carrera 4
Porsche 356 1500 S Speedster (1955)
Porsche 356 1300 coupé 1951
Porsche 356 A 1500 GT Carrera 1958
Porsche 356 châssis 356.001
Porsche Carrera 911



 
 

  

 

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D'hércule et d'héraclès
Blanche est ma ville
Brun est mon humidor

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