23 mai 2007
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J'ai vu la parade de la vie.
Elle a affiché le grand luxe de sa cruauté.
Elle a marché l'air hautain défiant avec insolence ma douleur affichée.
Jeune, elle m'avait déja marqué comme L'Homme qui en savait trop.
Son haleine qui ne se reprend pas de son sourire cruel se plaîsant à verser les larmes sur mes joues, enflées comme les seins de ma mère, a adoucit cependant mes blessures et m'a apprit le script de la métamorphose de la peine en humour.
Sans souffrance aurais je pu embellir cette disposition naturelle à convertir les tourments de l'insolite, l'étonnement anxieux, à prévoir le départ du coup de feu, à transformer l'événement douloureux en humour comme victoire contre les épreuves de la vie?
Son haleine qui ne se reprend pas de son sourire cruel se plaîsant à verser les larmes sur mes joues, enflées comme les seins de ma mère, a adoucit cependant mes blessures et m'a apprit le script de la métamorphose de la peine en humour.
Sans souffrance aurais je pu embellir cette disposition naturelle à convertir les tourments de l'insolite, l'étonnement anxieux, à prévoir le départ du coup de feu, à transformer l'événement douloureux en humour comme victoire contre les épreuves de la vie?