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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 18:41

 

Ce serait tout à fait prétentieux de ma part de parler de l’art contemporain en étant une personne dilettante. Mais ce n’est pas la seule raison, car comment peut on parler de quelque chose dont la seule tradition est la nouveauté ! Et comment alors devenir connaisseur dans un domaine qui invente à chaque fois son publique ! Me risquerai-je jusqu’à dire que l’art contemporain, abstrait en particulier est sevré de ses racines ? Non bien sûr ! De rupture il n’y en a jamais eu sauf peut être pour le dadaïsme et dans une moindre mesure le ready-made inventé par Marcel Duchamp devenu célèbre pour son urinoir inversé (fontaine 1917), de continuité linéaire non plus  Donc si changement il y a eu, et dieu sait combien, à quel niveau se situe t il ?

 

Les mouvements artistiques ce sont distingués tout le long de leurs évolutions par leurs techniques picturales : la présentation de l’espace, la profondeur, le volume, le rendu c'est-à-dire le rapport de fidélité de l’aspect extérieur de l’objet ou de l’être à sa réalité, et bien sûr le coup de pinceau si peinture il y a ! Si je note par exemple de 0 à 10 le rendu d’une figuration classique ce serait 9/10 alors que pour une peinture abstraite non figurative ce serait 2/10 et dans ce cas je serais même tenté de dire que l’expression de l’œuvre est intériorisée.

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Paul Klee ici représenté est un artiste peintre abstrait, un peintre poète comme il aimait se définir. La tendance artistique à laquelle il appartient se caractérise par sa distanciation  de la réalité objective, réduction minimaliste des objets à leurs structures originelles, cônes, triangles, cylindres… L’œuvre est là pour elle-même faisant fi de toute perspective, tombant rapidement dans le bidimensionnel, s’éloignant de toute connaissance sociale. La production finalement n’est pas une image mais une idée désobéissante, courageuse et belle.
La musique de la vidéo correspond à celle de l'opéra de Madame Butterfly de Giacomo Puccini
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Texte Libre



Ces écrits sont nés d'un besoin pressant d'aller vers l'autre, de fondre dans un creuset qu'est ce support des éléments épars exprimant une certaine singularité.

Mais l'homme a vite fait de montrer sa joie une fois il est dans la lumière alors que les vrais auteurs, sans qu'il ne s'en aperçoive, sont dans l'ombre.

Ces écrits ne sont donc que l'expression harmonieuse d'innombrables acteurs proches ou lointains qui ont peuplé mon esprit et qui maintenant revendiquent la liberté à leurs créations.

Je passe mes journées à mutiler mes cigares à décapiter leurs têtes à allumer leurs pieds à déguster leurs tripes, mais l'écriture n'est-elle pas une vertueuse souffrance qui s'ingénue avec bonheur à vous faire oublier votre égo à décliner le constat social et à créer en vous le désir de dissimilitude?

Notre société a circoncis les hommes dans leurs corps, le fera-t-elle pour le prépuce de leurs coeurs et de leurs ambitions?

La vitole bleue dédie ses thèmes à la ville de Tanger, ma terre ma nourricière, au cigare ce plaisir perle des dieux fait par les mains des hommes, et enfin à mes écrits vérités sur mes parures qui donneront je l'espère suffisamment de plaisir aux lecteurs.
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Qui c'est celui là?
Mais qu'est-ce qu'il veut?
Tanger 2010
 

Comment se fait-il qu’un homme quinquagénaire simple et ordinaire, père de deux enfants et œuvrant dans le secteur bancaire tombe, sans suffisance aucune, dans le chaudron d’Epicure ?

A vrai dire j’essaie de ressembler à ma mémoire, c’est une conteuse passionnée, qui m’a tatoué le cœur par le premier clapé de sa langue sur le palais pour me raconter le plaisir du cigare, et la première lueur blanche de Tanger sans laquelle tous mes devoirs envers mes plaisirs ne seraient qu'un amour futile.  

 

 
Porsche 911 carrera 4
Porsche 356 1500 S Speedster (1955)
Porsche 356 1300 coupé 1951
Porsche 356 A 1500 GT Carrera 1958
Porsche 356 châssis 356.001
Porsche Carrera 911



 
 

  

 

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D'hércule et d'héraclès
Blanche est ma ville
Brun est mon humidor

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